FBI warns of cybercriminals using fake FBI crime reporting portals

Méfiance envers les faux portails de signalement de crimes du FBI

Des cybercriminels créent des sites web frauduleux imitant le portail officiel du Centre de signalement des crimes sur Internet (IC3) du FBI. Ces faux sites visent à tromper les utilisateurs pour obtenir leurs informations personnelles identifiables (nom, adresse, numéro de téléphone, email) et des données bancaires, dans le but de commettre des escroqueries financières ou du vol d’identité. Les fraudeurs modifient légèrement les adresses de sites légitimes, en utilisant des orthographes alternatives ou des extensions de domaine différentes.

Points Clés:

• Des sites web frauduleux imitent le portail IC3 du FBI.
• L’objectif est de voler des informations personnelles et bancaires pour des escroqueries.
• Les cybercriminels modifient les caractéristiques des adresses de sites légitimes.
• Des exemples de domaines frauduleux incluent : icc3[.]live, practicinglawyer[.]net, et ic3a[.]com.
• Cette technique s’inscrit dans des fraudes plus larges où des escrocs se font passer pour des agents des forces de l’ordre ou des avocats.

Vulnérabilités:

• Aucune vulnérabilité technique spécifique (CVE) n’est mentionnée dans l’article. Il s’agit principalement d’une attaque par hameçonnage (phishing) et d’ingénierie sociale.

Recommandations:

• Saisir manuellement l’adresse : Tapez toujours www.ic3.gov directement dans la barre d’adresse de votre navigateur.
• Éviter les moteurs de recherche : Ne cliquez pas sur les liens sponsorisés ou les résultats de recherche qui pourraient rediriger vers des sites frauduleux.
• Protection des informations personnelles : Ne partagez jamais d’informations personnelles ou financières avec des inconnus rencontrés en ligne ou par téléphone.
• Prudence avec les demandes d’argent : Ne transférez jamais d’argent, de cryptomonnaies, de cartes cadeaux ou d’autres actifs financiers à des individus non vérifiés.
• Le FBI ne contacte pas directement : Le FBI et l’IC3 ne contacteront jamais directement les victimes par téléphone, email, réseaux sociaux ou autres plateformes, et ne demanderont jamais de paiement pour récupérer des fonds perdus.

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